Au cœur d’une forêt sauvage, où nul n’entend mes cris, Je me fais sodomiser comme il faut sous un dais d’arbres tordus. La caméra capture chaque coup de verge, chaque goutte de sueur, chaque grognement primal alors qu’on me martèle. Les aiguilles de pin collent à ma peau, l’odeur de la terre et du sperme se mêle dans l’air, tandis que la forêt résonne du rythme sauvage de la chair qui claque. Tourné en pleine nature, ces 20 minutes d’annihilation ****e (PAS QUE) implacable laisseront les spectateurs bandants, trempés et suppliant pour plus. Pas de pitié, pas de limites, juste une débauche pure dans les recoins de la nature.